Nuit de contes

Du samedi 11 mars au dimanche 12 mars 2023 

Nuit de contes

Boubacar Ndiaye et Christel Delpeyroux
Contes 

Résodanse, Rue de Prébarreau 17, 2000 Neuchâtel / Tout public / Entrée libre et sortie au chapeau, petite restauration toute la nuit au chapeau

Suite à deux ans de suspension, Paroles renoue avec sa presque traditionnelle nuit du conte, qui se tiendra pour la première fois dans la salle de Résodanse. Boubacar Ndiaye et Christel Delpeyroux dérouleront le fil rouge à travers la nuit et seront rejoints par des conteurs et conteuses de Suisse romande.

Un espace « foyer » vous permettra à tout instant de vous dégourdir les jambes et les ouïes, de manger quelque chose, et de boire beaucoup de café pour en entendre le plus possible.

Boubacar Ndiaye vit actuellement à Toulouse et a “grandi au Sénégal, dans la petite ville de Tivaouane, située dans la région de Thiès. Immergé dans l’univers du conte, du chant et de la poésie depuis son plus jeune âge, il est un des dignes héritiers de ses aïeux, de la mémoire de son peuple et de l’art de dire. Griot de père en fils, c’est dans la lignée de ses ancêtres que Boubacar Ndiaye a choisi de faire vivre, entendre et partager les hymnes, épopées et chants sacrés de la tradition orale wolof pour rendre hommage à sa grand-mère Ngoné Gueye Samb. Il transmet leur message universel en wolof et français”.

Christel Delpeyroux allie “justesse de la parole, précision du geste et intensité des images transmises, qui font d’elle une conteuse qui a l’art de révéler la force et la complexité des histoires qu’elle raconte. D’un tempérament à la fois généreux et pétillant, la simplicité de sa présence sur scène lui permet d’établir un rapport direct avec le public”. 

“Si je suis bien ancrée dans la tradition, notamment du merveilleux, je raconte aussi bien du conte, du fantastique que de la nouvelle contemporaine, en mélangeant parfois les genres et les cultures, pourvu que cela nous parle de relation : à soi, aux autres ou au monde. Et…  j’espère commencer à effleurer le sujet d’ici une petite centaine  d’années !” 

Visuel : Fabian Sbarro, Photographie : Thierry Cortès
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